⌛ Temps de lecture : 3 min
Le syndrome de KISS qu’est-ce que c’est ?
Au cabinet j’entends souvent les parents me questionner à propos du « syndrome de KISS », si je suis formée sur ce syndrome, si l’ostéopathie peut faire quelque chose, …
La SEROOP (Société Européenne de Recherche Ostéopathie Pédiatrique et Périnatalité) dont je fais partie, a écrit un très beau communiqué que je vous relate et qui répondra à vos questions. Pour résumer, nous retiendrons de cet article :
- Le syndrôme du KISS décrit : latéro-colis, posture en C, microsomie de l’hémiface, troubles du développement moteur, agitation, plagiocéphalie, asymétrie du tonus , hypersensibilité, déformation des pieds, agitation, troubles végétatifs (pleurs, sommeil, digestion), coliques du nourrisson, brachycéphalie, hyper-extention, refus du pro-cubitus, difficulté de tenir sa tête, vomissements, bavage, agitation, hyperactivité, troubles de la concentration, mauvaise posture, troubles perceptifs, troubles de la motricité globale et fine, retard de langage, etc.
- L’ensemble des signes cliniques décrits dans ce « syndrome » est connu depuis des décennies tant par les pédiatres que par les ostéopathes pédiatriques.
- L’HAS (la Haute Autorité de Santé) n’évoque pas le syndrome du KISS dans ses recommandations pour la « Prévention des déformations crâniennes positionnelles et de la mort inattendue du nourrisson ».
- ⛔️ A proscrire : l’utilisation « des manipulations de type thrust » connu aussi sous le nom de « techniques de crack » ; il est recommandé d’utiliser des mobilisations précises et adaptées aux vertèbres non soudées du rachis cervical supérieur et respectueuses de la circulation vertébro-basilaire cérébrale du nouveau-né et du nourrisson.
Pour poursuivre
Nous avons toute une partie du blog dédiée aux nourrissons – Juste ici
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Le syndrome de KISS qu’est-ce que c’est ?
Au cabinet j’entends souvent les parents me questionner à propos du « syndrome de KISS », si je suis formée sur ce syndrome, si l’ostéopathie peut faire quelque chose, …
La SEROOP (Société Européenne de Recherche Ostéopathie Pédiatrique et Périnatalité) dont je fais partie, a écrit un très beau communiqué que je vous relate et qui répondra à vos questions. Pour résumer, nous retiendrons de cet article :
- Le syndrôme du KISS décrit : latéro-colis, posture en C, microsomie de l’hémiface, troubles du développement moteur, agitation, plagiocéphalie, asymétrie du tonus , hypersensibilité, déformation des pieds, agitation, troubles végétatifs (pleurs, sommeil, digestion), coliques du nourrisson, brachycéphalie, hyper-extention, refus du pro-cubitus, difficulté de tenir sa tête, vomissements, bavage, agitation, hyperactivité, troubles de la concentration, mauvaise posture, troubles perceptifs, troubles de la motricité globale et fine, retard de langage, etc.
- L’ensemble des signes cliniques décrits dans ce « syndrome » est connu depuis des décennies tant par les pédiatres que par les ostéopathes pédiatriques.
- L’HAS (la Haute Autorité de Santé) n’évoque pas le syndrome du KISS dans ses recommandations pour la « Prévention des déformations crâniennes positionnelles et de la mort inattendue du nourrisson ».
- ⛔️ A proscrire : l’utilisation « des manipulations de type thrust » connu aussi sous le nom de « techniques de crack » ; il est recommandé d’utiliser des mobilisations précises et adaptées aux vertèbres non soudées du rachis cervical supérieur et respectueuses de la circulation vertébro-basilaire cérébrale du nouveau-né et du nourrisson.
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