Temps de lecture : 5 min

La plagiocéphalie,
nos conseils

Comment Alicia peut-elle vous aider ?

J’ai commencé à m’intéresser à la pédiatrie dès la fin de mes 5 ans d’études. J’ai entamé une première formation post-graduate avec « ostéonat » et ai poursuivi par 2 ans de formation avec la SEROPP (Roselyne Lalauze Pol) qui travaille avec l’hôpital de Necker. J’ai ensuite approfondi la sphère psychologique avec un diplôme universitaire de la faculté de Paris « Psychisme et périnatalité ». – Alicia Muzzolini, Alicia est aussi adhérente à l’association la SEROPP qui fait beaucoup de choses sur la plagiocéphalie, n’hésitez pas à visiter leur site

On en parle dans les médias 📝

Recommandation de l’HAS : très récemment la Haute Autorité de Santé a indiqué la complémentarité de l’ostéopathie dans le traitement des plagiocéphalies.

« Actuellement les données scientifiques ne permettent pas de recommander l’ostéopathie. Une approche ostéopathique à orientation pédiatrique peut être associée à la kinésithérapie en deuxième intention dans le cadre d’une prise en charge pluri-professionnelle. » – Site web de l’HAS

👇 « Paroles de maman » réalise un article expliquant le syndrome de la tête plate

Article ici

👇 Oostéo (réseau d’ostéopathe) nous explique aussi qu’est-ce que la plagiocéphalie 

Article ici

👇 « La maison des maternelles » traite aussi de ce sujet via cette vidéo 

Temps de lecture : 5 min

La plagiocéphalie, nos conseils

Comment Alicia peut-elle vous aider ?

J’ai commencé à m’intéresser à la pédiatrie dès la fin de mes 5 ans d’études. J’ai entamé une première formation post-graduate avec « ostéonat » et ai poursuivi par 2 ans de formation avec la SEROPP (Roselyne Lalauze Pol) qui travaille avec l’hôpital de Necker. J’ai ensuite approfondi la sphère psychologique avec un diplôme universitaire de la faculté de Paris « Psychisme et périnatalité ». – Alicia Muzzolini, Alicia est aussi adhérente à l’association la SEROPP qui fait beaucoup de choses sur la plagiocéphalie, n’hésitez pas à visiter leur site

On en parle dans les médias 📝

Recommandation de l’HAS : très récemment la Haute Autorité de Santé a indiqué la complémentarité de l’ostéopathie dans le traitement des plagiocéphalies.

« Actuellement les données scientifiques ne permettent pas de recommander l’ostéopathie. Une approche ostéopathique à orientation pédiatrique peut être associée à la kinésithérapie en deuxième intention dans le cadre d’une prise en charge pluri-professionnelle. » – Site web de l’HAS

👇 « Paroles de maman » réalise un article expliquant le syndrome de la tête plate

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👇 Oostéo (réseau d’ostéopathe) nous explique aussi qu’est-ce que la plagiocéphalie 

Article ici

👇 « La maison des maternelles » traite aussi de ce sujet via cette vidéo 

Et la science dans tout ça ?

L’incidence et les causes, la prévention, le traitement, la Société canadienne de pédiatrie, comité de la pédiatrie communautaire, vous explique tout cela juste ici

Nos conseils

Il faut savoir que l’ostéopathe va aider à stimuler la croissance crânienne mais cela ne représente que 50% du traitement. Les 50% restants sont un « travail » du quotidien, régulier, qui se fait en stimulant bébé, notamment dans le sens dans lequel il ne veut pas aller. Par exemple : un enfant qui a du mal à tourner sa tête à droite devra être stimuler (par des jouets ou autres) à droite.

Cette fiche conseil de la SEROPP est en téléchargement gratuit et vous donnera d’autres exemples pour éviter d’accentuer la plagiocéphalie : ici

👇 « Les bébés qui dorment sur le dos développent une tête plate – la vérité » une vidéo réalisée par Les Ostéos font des vidéos

👇 « 4 astuces pour la prévention de la tête plate » une vidéo réalisée par Les Ostéos font des vidéos

👇 « Comment éviter la « tête plate » ? » une vidéo réalisée par Les Maternelles

Les médecines complémentaires

  • Le pédiatre : son avis est indispensable dans les cas de déformations crâniennes. Il reste le référent pour toutes les pathologies des nourrissons.
  • La kinésithérapie : complémentaire des traitements ostéopathiques, le kiné est indispensable pour les cas sévères.
  • Les orthèses crâniennes (casques) : indiquées dans les cas les plus sévères, il existe plusieurs laboratoires proposant ces orthèses : Craniodoc, Lagarrigue, Protéor, Chabloz

La Haute Autorité de Santé : « En cas d’absence d’amélioration de la déformation crânienne après une prise en charge adaptée, une orientation précoce (fin du premier semestre) par le médecin qui suit l’enfant vers un centre de compétences ou de référence des malformations cranio-faciales5 est recommandée. »

Et la science dans tout ça ?

L’incidence et les causes, la prévention, le traitement, la Société canadienne de pédiatrie, comité de la pédiatrie communautaire, vous explique tout cela juste ici

Nos conseils

Il faut savoir que l’ostéopathe va aider à stimuler la croissance crânienne mais cela ne représente que 50% du traitement. Les 50% restants sont un « travail » du quotidien, régulier, qui se fait en stimulant bébé, notamment dans le sens dans lequel il ne veut pas aller. Par exemple : un enfant qui a du mal à tourner sa tête à droite devra être stimuler (par des jouets ou autres) à droite.

Cette fiche conseil de la SEROPP est en téléchargement gratuit et vous donnera d’autres exemples pour éviter d’accentuer la plagiocéphalie : ici

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Les médecines complémentaires

  • Le pédiatre : son avis est indispensable dans les cas de déformations crâniennes. Il reste le référent pour toutes les pathologies des nourrissons.
  • La kinésithérapie : complémentaire des traitements ostéopathiques, le kiné est indispensable pour les cas sévères.
  • Les orthèses crâniennes (casques) : indiquées dans les cas les plus sévères, il existe plusieurs laboratoires proposant ces orthèses : Craniodoc, Lagarrigue, Protéor, Chabloz

La Haute Autorité de Santé : « En cas d’absence d’amélioration de la déformation crânienne après une prise en charge adaptée, une orientation précoce (fin du premier semestre) par le médecin qui suit l’enfant vers un centre de compétences ou de référence des malformations cranio-faciales5 est recommandée. »

La partie I de l’article, c’est par ici !
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